J.M.G. Le Clézio, comme il signe ses livres, est né à Nice le 13 avril 1940 dans une famille d’origine breton qui provenaît de l’Île Maurice à l’Indique. Cette mélange culturelle a fait qu’il soît un homme preocupé par les differents peuples et qu’il soît aussi sensibilisé par les gros problèmes de l’humanité.
Dès qu’il était un enfant, son prémier récit est écrit à l’age de 8 ans, il écrive tout le temps. “Mon écriture est partout, elle ne peut pas cesser. Elle est plus vaste que la feuille qui la contient, plus longue que l’encre de mon crayon à bille. J’écris avec mes deux pieds quand je marche, avec mes dents quand je mange. J’écris avec tout mon corps, avec le corps des femmes, avec ma douleur, mon plaisir, mon souffle. Et je suis écrit tout le temps, par le monde, sans pouvoir jamais dire non”. C’est comme ça le dernier Prix Nobel de littérature, vraiment il faut lui lire.
Je viens de lire un commentaire d’un écrivain et professeur de littérature française au sujet de ce prix Nobel. Il pense que Le Clézio a un Nobel inmerité. À son avis, seulement les prémiers récits de Le Clézio sont «rupturistes», adjetif que l’Académie suédoise a mis à son oeuvre. Il croît que on ne peut pas décerner un prix Nobel de littérature à un écrivain pour être une personne si preocupée des problèmes des gens et avec un sens humanitaire très foncé. Est-ce qu’on devait, peut-être,lui donner un autre prix des Nobel?